Depuis le module de formation en prévention des risques professionnels, "les risques psychologiques au travail", j'ai pu observer plus précisément ce que pouvait entrainer un mauvais mental dans la vie de tous les jours.
Dans le sport, on le nomme "manque de concentration", dans le travail "burn out". Des mots différents pour un même résultat, le mental n'arrive plus à faire ce qu'on lui demande parce qu'il est épuisé, parce que l'on se rabaisse, parce que l'on a perdu confiance en soi, parce que l'on a une mauvaise image de soi, etc... 
Cela entraine beaucoup de conséquences tant dans l'activité sportive ou professionnelle, que dans la vie familial, ou dans le loisir.

Ce sont des situations que j'ai vécues, dans mon ancien travail, car une accumulation d'évènements personnels m'a fait louper un important contrat pour ma carrière. Plus récemment, dans la pratique de mon sport, le tennis de table, il m'est arrivé d'être dans l'impossibilité de me concentrer pleinement pendant les matchs, cumulant le doute et ressentant la pression de perdre. (image pour le club).

Mon handicap m'a donc également obligé à devoir passer au-delà des douleurs pour pouvoir continuer à avoir des activités. Nous apprenons à gérer au mieux certaines déficiences pour avancer.
Mais aussi beaucoup de ressenti dans l'encadrement des équipes que je devais gérer ou au cours d' entrainements de tennis de table  "valides" et "handi" que je donnais, mais également lors de mes coaching de matchs de jeunes ou de sportifs que je suivais. 
Je ne suis pas un psychologue, l'écoute fait parti des moyens indispensables pour pouvoir aider, je n'ai fait que découvrir, un jour, que le coaching mental était une profession qui me ressemblait le plus et donc je me suis formé en conséquence.